056Il y a un âge où les larmes arrosent les poupées et les jeux vidéo, un autre qui étreint le cœur  lorsqu’il se serre et qu’il étouffe et le dernier sur les yeux qui se ferment pour toujours. Le sourire ne compte pas les années ni les heures, il se donne et ne se reprend jamais. C’est l’amant d’une vie qu’il ne quittera que s’il doit se faner. Mais il peut refleurir dans la lumière d’un soleil tendre qui s’attendrit et dompte les silences qui ne demandent qu’à se briser.

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