Derrière la porte, il entend les cris et les reproches. Il a peur et se bouche les oreilles avec ses poings tout en serrant sa bouche pour ne pas pleurer. Il ne doit pas pleurer. Il lui a dit qu’un homme, ça ne pleure jamais. Ça bouge...
Le temps a passé et mes chaînes sont enfin tombées. Je te remercie d’avoir tenté de m’attacher, j’ai senti le parfum de la liberté. J’ai fini par retrouver les clés au fond de mon cœur que tu as voulu assassiner. Je n’ai pas eu à fouiller...